lundi 11 juin 2012

Merci

Madame, Monsieur,

A l’issue du premier tour de l’élection législative du 10 juin 2012, près de 2 000 électeurs de la 12ème circonscription de Paris ont soutenu notre candidature.

Avec Sophie Barou de Gaulle, je souhaite, en premier lieu, m'adresser aux électeurs qui nous ont apporté leur voix et les remercier. Grâce à vous, le Centre constitue une force politique significative dans le 7ème et le 15ème arrondissement. Votre vote illustre le besoin de faire exister un Centre qui soit une force d’équilibre, tant au niveau national que local.

Pour notre part, nous continuerons à l’avenir à porter la voix de la lucidité dans le contexte actuel particulièrement périlleux. Nous œuvrerons pour faire émerger des consensus, notamment face aux dérives vers les extrêmes. Nous soutiendrons les mesures courageuses indispensables pour le redressement de notre pays et le retour à la croissance. Nous défendrons le socle solidaire qui nous unit.

Nous adressons d’ores et déjà nos vœux de succès au vainqueur de cette élection au 2ème tour, avec lequel, dans l’esprit de la campagne que nous avons menée, nous sommes prêts à construire un dialogue à la fois constructif et fidèle à nos valeurs.

Nous restons à l’écoute de toutes et tous pour porter, pour notre pays et nos arrondissements, le message de l’espoir.

Stéphane Cossé

Sophie Barou de Gaulle

jeudi 10 mai 2012

Lucidité, volonté, solidarité : les ambitions de cette candidature

J’ai décidé de me porter candidat dans la 12ème circonscription de Paris (sud du 7ème arrondissement et nord du 15ème arrondissement) pour l’élection législative des 10 et 17 juin. Je suis heureux d’associer à cette candidature Sophie Barou de Gaulle (suppléante).

Face au déni de réalité du PS et de l’UMP, plus que jamais nous avons besoin d’un Centre fort et indépendant à l’Assemblée Nationale, d’une force d’équilibre.

Candidat du Centre dans cette circonscription, soutenu par François Bayrou et d’un large rassemblement centriste, je veux ainsi porter la voix de la lucidité, de la volonté et de la solidarité.

Lucidité, car nous ne pouvons accepter la politique de l’autruche du PS et de l’UMP sur l’ampleur des difficultés à venir, ainsi que leur éloignement vers les extrêmes. Ces deux attitudes ne proposent aux Français que des lendemains qui déchantent. Et nous savons à ce titre d’ores et déjà que les promesses de François Hollande ne pourront pas être tenues. Nous devons au contraire admettre que la crise qui frappe les Français, et en premier lieu les classes moyennes, est profonde et requiert des mesures courageuses.

Volonté, car il nous faudra de l’ambition pour prendre les mesures du redressement nécessaire. Il faut que nous puissions dépasser les vieux clivages politiques. En temps de crise, il est important d’établir des consensus à gauche, à droite et au centre autour des valeurs réformatrices et humanistes. Voter et gouverner ensemble, pour le bien et l’unité du pays, aussi longtemps que la crise durera, ne doit pas être une utopie, et je suis prêt à y prendre ma part à l’Assemblée Nationale.

Solidarité, car la crise ne doit pas avoir raison de notre modèle social, elle doit au contraire nous pousser à le sauvegarder, à l'améliorer pour rendre les services publics plus performants. La crise ne doit pas non plus diviser les citoyens par des amalgames dangereux, c’est la division qui affaiblit, c'est la fraternité qui rend plus fort.

Bien sûr, si je suis élu, avec Sophie Barou de Gaulle, je serai également aux côtés des habitants des 15ème et 7ème arrondissements. Car leur qualité de vie et leur bien-être, la qualité de vie et le bien-être, doivent trouver un écho au niveau de notre Assemblée Nationale. Nous serons leur porte-parole au quotidien.


Dans ce cadre, je veux œuvrer pour notre pays dans 3 directions majeures. 
Bien sûr, d’autres chantiers seront ouverts, mais ceux-là sont à mon sens prioritaires pour faire face aux graves enjeux auxquels nous sommes confrontés :

Restaurer notre compétitivité et réduire nos déficits

Il faut être lucide : la France n’est plus compétitive, alors même que l’endettement de notre pays est insoutenable.
La première nécessité est de retrouver notre compétitivité, ce pour quoi nous devons faire preuve d’un volontarisme sans faille. Il nous faut libérer l’initiative, encourager
l’innovation, renforcer nos entreprises, à commencer par nos PME, redévelopper nos filières de production, inciter les consommateurs à acheter des produits nationaux à qualité égale.
Ces efforts ne peuvent qu'aller de pair avec une réduction de l’endettement public.

Car l'équilibre budgétaire est une condition de la confiance et donc du redressement. Il n’y aura pas d’espoir si les Français ne sont pas convaincus que l’Etat lui-même s’engage résolument dans cette voie, en réduisant en particulier ses dépenses.

Nous devons aussi dire que l’Europe n’est pas la cause de nos faiblesses, mais bien une chance pour affronter ces défis. Nous sommes ancrés à l’Europe, qui seule dispose de leviers assez puissants pour financer de grands projets de croissance (comme ceux liés à la transition énergétique). Notre monnaie commune, quant à elle, renforce la stabilité financière de notre économie : l’euro nous préserve du chaos économique.

Préserver notre éducation


La première des solidarités est de garantir l’accès de tous au socle commun que constitue l’éducation nationale. L’ambition est de redevenir un modèle en la matière : mettre à disposition une offre pour le plus jeune âge (crèches…), garantir la maîtrise de la lecture et de l’écriture à l’école primaire, adapter le temps scolaire pour favoriser les soutiens individuels ou en petits groupes, revaloriser les filières professionnelles, et développer l’alternance ainsi que l’apprentissage.

Lutter inlassablement pour la transparence de la vie publique et des affaires


Enfin, je ne cesserai jamais d’appeler à plus de justice dans la vie publique et les affaires. La malhonnêteté, les abus, les privilèges, l’argent-roi, les deals mirobolants, la finance folle sont choquants…et rien n’a encore changé. Là est le désenchantement de notre pays. Persévérons. Protestons inlassablement. Tout doit être entrepris pour une gouvernance irréprochable, en matière publique comme privée, qu’il s’agisse d’établir l’indépendance de la justice et des médias, de lutter contre la corruption et les conflits d’intérêts, de limiter le cumul des mandats électoraux, ou de mettre fin aux rémunérations excessives et aux perversités de l’économie-casino.

Tels sont les engagements que je veux prendre avec Sophie Barou de Gaulle :

- être à l’écoute des habitants du 7ème et 15ème arrondissement et nous faire leur porte-parole
- allier réalisme économique et budgétaire et lancement de projets d’avenir,
- concilier entreprenariat et droit de réussir avec solidarité et partage, 

- lutter contre les injustices, l’argent-roi et les discriminations,

Stéphane Cossé
Candidat du Centre dans la 12ème circonscription de Paris




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